« En 2008, la Suisse a reconnu aux plantes le droit à la ‘‘dignité de la créature’’.
En gros, cela veut dire que ‘‘les plantes ont une valeur intrinsèque au nom de laquelle elles doivent être protégées’’ ce qui entraine comme conséquence que ‘‘tout acte de nuisance arbitraire envers les plantes est moralement répréhensible’’et que ‘‘toute destruction doit être justifiée par des arguments valables’’.

C'est vrai qu'on a pu observer qu'elles réagissent à leur environnement, notamment lorsqu'elles sont attaquées par leurs prédateurs naturels tels les insectes. On peut aussi voir que certes très lentement mais elles bougent, et peuvent communiquer entre elles, bref, ce sont des êtres vivants.

Ressentent-elles la souffrance ? Jusqu'à ce jour, on ne l'a pas prouvé, on sait juste qu'elles n'ont pas de système nerveux, donc pas conscience de ce qui leur arrive même si elles y réagissent pour assurer leur survie ou au moins celle de leur espèce.
Doit-on continuer à utiliser les fibres naturelles pour nos textiles, en attendant, Pier-Juan les utilise toujours pour ses produits de qualité...

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